Les préparatifs

LES PRÉPARATIFS

Après avoir, tout d’abord, découpé un gabarit complet dans du carton très épais venant d’un calendrier (pour vérifier la crédibilité du montage à faire), place aux parois en bois. Les montants sont découpés dans de l’aggloméré avec la scie à chantourner électrique, puis habillés chacun, selon leur destination dans l’agencement de la roulotte, avec des pièces de bois façon marqueterie, qui sont ensuite cirées, peintes ou pyrogravées.

Chacune des parois a ainsi été traitée recto et verso.

Tout d’abord une photo de la porte principale ( celle qui est ma préférée ) côté terrasse. Sur ce cliché, cette paroi avec sa porte à doubles-battants est complètement terminée. Tous les détails sont directement inspirés de la photo d’une roulotte réelle qui se trouve dans le livre de Jeanne Bayol : “Rêves de Roulottes”. Les photos suivantes permettront de comprendre les étapes de son élaboration.
Étapes de la marqueterie sur la paroi arrière. Habillage de la porte principale, à l’aide de bois découpés et collés sur la plaque de contreplaqué. Les irrégularités sont volontaires : les roulottes réelles, hormis les versions “modernes” recréées depuis quelques années, étaient construites avec des bois d’origines différentes…
Vue plus rapprochée sur le travail “d’habillage”.
Des baguettes de samba, des bâton de glace, des découpes dans des bois d’essences diverses…
Les deux côtés sont faits.
Pyrogravure des panneaux latéraux de la porte.
Gros plan sur le travail de pyrogravure, inspiré par la photo du livre.
D’abord un dessin léger au crayon, puis la pyrogravure.
Côté droit en très gros plan.
La porte est cirée à plusieurs reprises, avec un ponçage très léger à la laine de verre triple 0 entre chaque couche.
Avec un papier blanc glissé derrière les parties “vitrées”, pour mieux les observer sans le reflet.
La porte arrière “debout”, pour le plaisir de l’observer verticale ! Les poignées de porte, les charnières… ne sont pas encore là.
Avec un éclairage différent, qui lui donne une belle couleur “miel”.
Un autre cliché de cette même porte doubles-battants, une fois terminée et habillée de petits rideaux.
Voici la même paroi avec la porte à doubles-battants, vue de l’autre côté ( celui qui correspondra à l’intérieur de la partie “séjour” de la roulotte.
Préparation des poignées/boutons de la porte : des perles argentées ramenées d’un voyage en Inde sont montées sur un petit clou, et laquées en doré.
La porte intérieure avec ses boutons de porte, et les rideaux posés. Il n’y a pas encore, sur cette photo, la serrure et le jeu de clefs…
Voici la paroi opposée de la roulotte, côté cocher. (vue de l’extérieur)
La même, vue un peu rapprochée…
Porte côté cocher non encore cirée, en position “debout” pour le plaisir de l’observer verticale.
La voilà cirée, poncée, re-cirée, re-poncée, patinée.
Les deux extrémités de la roulotte, en cours !
Fabrication des volets. Les lamelles sont taillées une à une dans des baguettes prélevées sur un set de table.
Ajustement des volets en cours de fabrication.
Détail du volet en cours de réalisation.
Autre vue, plus centrée, sur les essais.
Les volets sont ouverts, pas encore maintenus en position ouverte car les attaches ne sont pas encore posées. Le “soleil” est une trouvaille sur un vide grenier ( une broche abimée) entièrement repeinte et patinée. Il ne correspond à rien de particulier, sinon à mon envie de le placer exactement là !
Volets dansants dans une bourrasque miniature !!
Les volets, fixés sur de petites charnières, peuvent être rabattus.
La règle donne une proportion de cette paroi côté cocher en cours de finition.
Habillage du côté intérieur (qui correspondra à l’intérieur de la chambre) de la paroi côté “cocher”.
Avec la fenêtre en cours de réalisation.
Voici la paroi de séparation des deux pièces de la roulotte, photographiée côté chambre.
La même paroi, côté pièce à vivre. Les irrégularités du cirage des lattes de bois sont étudiées et volontaires, pour éviter l’aspect neuf irréaliste.
Les trois parois de la chambre juxtaposées.
En plus gros plan.